C’est avec une infinie tristesse que nous avons appris le décès de Clarisse Orniacki.
Etudiante du magistère de génétique, Clarisse avait rejoint l’équipe « Fonctions non-conventionnelles des pores nucléaires »comme doctorante et avait brillamment soutenu sa thèse en décembre 2022. C’était une jeune femme pleine de vie, motivée, déterminée, brillante, engagée, mais aussi douce et discrète, avec devant elle un avenir prometteur.
Après s’être intéressée aux pores nucléaires et leur rôle dans la différentiation neuronale, Clarisse avait poursuivi sa carrière par un postdoc à l’Université McGill, Montréal, ou elle s’intéressait au rôle des protéines lysosomiales dans le contexte de la maladie de Parkinson.
Elle s’était battue, sans aucun doute avec la même énergie que celle qu’elle mettait dans ses manips, contre un cancer, découvert peu après qu’elle soit arrivée au Canada. Mais après une période de rémission, la maladie est malheureusement revenue de façon soudaine.
Nos pensées les plus sincères vont à sa famille, à ses proches et à tous ceux qui ont eu la chance de la connaître.